C’est donc l’histoire d’une petite chauve souris frugivore (je me répète)qui s’appelait charlotte (je me repette encore mais ceci n’est pas une comptine)et qui vivait dans une énorme grotte très sombre, entourée de milieu des siens. Et malgré le fait qu’ils ne faisaient pas de cochoncetés ensemble, à l’endroit ou a l’envers, Charlotte n’était pas heureuse. Elle rêvait de visiter les cieux et les forets plus sombres du pays et d’y faire des rencontres et des découvertes. Parce que de manière générale les chauves souris ont toujours le même parcours. Donc un beau soir d’été ou flottait une légère brise agréable, Charlotte décidé de déroger aux règles de la communauté et prit son envol. Elle volait déjà ainsi depuis quelques longues minutes ayant en plus croisé une collègue libellule qui virevoltait au dessus d’un étang. Elle se trouva nés à nez avec un rapace noctambule. Evidemment, je ne vous parle pas de la frayeur de notre petite Charlotte. Surtout que l’énorme prédateur déploya ses ailes pour la suivre à la manière de la cape de Batman (tiens, le revoilà lui). La chauve souris, donc cherchait un endroit ou se cacher, et ne trouva comme abri que la souche d’un arbre couchée a terre dans laquelle elle se précipita. Evidemment, vu la taille respective de nos deux protagonistes, surtout l’énormité de ce qui était en fait une espèce hybride entre l’aigle royale et le grand hibou (comment ça vous n’en avez jamais vu, pourtant dans mon histoire ça existe et puis c’est mon histoire d’abord na ! si vous n’êtes pas contents sortez du publique). Le rapace, appelons le ainsi du fait de ses origines paternelles, puis que de toue façon on dit un aigle et pas une aigle alors qu’on dit bien un hibou et une chouette (référence à notre du départ), se posa doucement près de la souche et se mit à appeler doucement ouh, ouh, pour attirer l’attention de la chauve-souris, ce qui en animal ou en hibou plus spécifiquement par houhou ! Ben si parce qu’entre eux les animaux se parlent (ligne un peu balot que j’ai lu dans un de mes vieux bouquins d’enfance, mais je ne me souviens plus exactement le même. Juste de quoi attirer l’attention de la proie en question. Pensez vous que Charlotte était bien loin d’être assez folle pour sortir se faire manger. Elle restait donc bien cachée alors que le mi aigle mi hibou qu’on appellera Rapace pour au moins le déroulement lui lançait de nouveau un appel désespéré qu’on traduirait parce que tout le monde ne parle pas hibou (j’allais faire un commentaire un peu nul, mais on m’a clairement fait savoir que je sui l’auteur et que je ne suis pas là pour ça) « s’il te plait, je voudrais juste discuter avec toi. » Et donc par curiosité la Charlotte qui sort le bout de son joli museau par une petite ouverture en haut de la souche abri pour demander « je ne suis pas mazo moi, discuter pour toi je sais bien ce que ça veut dire. »La suite au prochain épisode.